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Pourquoi avons nous pensé à ce projet

Connaissez-vous réellement votre impact sur cette planète ?

Faire une excursion en mer ou dans les terres, partir en projet humanitaire à l'autre bout du monde, dormir en éco lodge ou passer par une grande compagnie.. Vous vous trompez peut-être sur le réel impact de votre voyage. Vous pouvez le rendre plus économique et plus écologique.

Notre voyage eco responsable

c'est, comparé à un voyage classique*
(*Moyenne effectuée pour un voyage depuis l'Europe vers l'Amérique Latine)

Km parcourus sans énergie fossile

€ injéctés dans l'économie locale

Tonnes de CO2 non rejeté

Associations aidées

Les causes

Transport et tourisme InfoGrpahie

Le transport

Plus de solutions qu'on ne le pense

Impossible d'évoquer vos envies de voyage sans aborder l'incontournable problématique du transport. De nos jours, les puissants lobbies du tourisme, de l'aviation et de l'automobile, laissent à penser que les options pour partir en vacances sont réduites, surtout si vous comptez partir pour un tour du monde.
En réalité, la voiture et l'avion ne sont pas une obligation et la plupart du temps, sont loin d'être la meilleure solution. En Europe, vous pouvez trouver des bus ou des trains qui coûtent moins cher et vous donnent beaucoup plus d’occasions de découvrir le monde.
Qui connaît Interrail ? Ou qui sait qu'il est possible de prendre le transsibérien / mongolien pour aller en Mongolie / Chine? Qui sait qu'il est possible de traverser les océans en bateau avec quelques euros par jour ? Pendant 7 mois, nous vous montrerons comment voyager différemment, avec un budget attrayant, sans détruire la planète.
Envie de comprendre ce que vous consommez, c'est par ici

Date: 08-07-2019

Les Activités

Respecter l'économie et l'environnement locale

Tourisme animalier, trekking au fin fond de la jungle, visite de sites archéologiques, oui, mais à quel prix. Les activités touristiques se développent à vitesse grand 'V', à tel point qu'en 2016 le tourisme représentait plus de 7000 milliards de dollars dans l'économie mondiale. Malheureusement, les activités proposées ne sont pas (souvent) respectueuses de l'environnement et de l'économie locale, ainsi que de la culture et l'histoire du pays que nous visitons.
La disparition de la grande barrière de corail en Australie, de la forêt amazonienne en Amérique Latine, des oiseaux français ou encore des forêts de Madagascar ne sont que des exemples, témoins de la surexploitation, sur tous les continents de ressources naturelles, parfois due aux flux touristiques. Ils sont souvent menés par une logique de rendement à court terme.
Les quatre commandements de l'éco-trotteur
Sortez des chemins tracés : visitez pour la culture (musées, bâtiments historiques, etc), flânez dans les rues pour y découvrir l'art. Laissez-vous surprendre : trouvez par hasard des restaurants locaux, poussez la porte des artisans. Faites confiance aux locaux : le meilleur guide, ce sont les populations locales. Elles vous feront découvrir la faune, la flore et les paysages incroyables qui sont autour de vous, tout en vous offrant une vision objective et authentique de l'endroit où vous vous trouverez. Quittez internet de temps en temps : pour éviter les lieux trop touristiques, que tout le monde ira visiter.
Ces commandements nous guideront pendant cette aventure que nous partagerons avec vous. Nous allons vous prouver qu'ils sont réalistes et pas si difficiles à respecter.

Date: 09-07-2019
Activité et tourisme InfoGrpahie

Internet et tourisme InfoGrpahie

Internet

Partager son voyage

A l'heure des réseaux sociaux et du voyage 3.0, chaque voyageur souhaite montrer où il est, dans quels pays il voyage et surtout partager les photos qu'il prend. Avec une conséquence méconnue, une forte consommation d'energie : le like sur Facebook, les trois photos envoyées à la famille participent à l'empreinte environnementale de votre aventure. Par exemple, un Tweet consomme 0,02g de CO2 par an, un email abandonné dans la boite mail, 10g par an, une recherche Google, 7g, une video en streaming 0,5g à l'heure, etc. Cela parait peu, mais multiplié par les milliards d'internautes et de touristes, cela devient colossal.
De là vient la reflexion, comment la balancer ?
Quelques pistes : si vous créez un blog ou un site internet pour donner de vos nouvelles, privilégiez peut-être des hébergeurs "verts", alimentés en énergies renouvelables comme celui d'Ecofortrip. Gardez aussi à l'esprit qu'une vidéo ou une photo sont beaucoup plus lourdes qu'un texte : elles consomment donc beaucoup plus. Une photo par jour et par lieu visité semble un bon compromis. Plus de conseils sur l'article "Internet en voyage" à lire et partager sans modération.

Date: 11-07-2019

Visiter

Respecter la culture locale

Lorsque l'on parle de tourisme aujourd'hui, on imagine réserver dans un bel hôtel, vue sur mer, un chalet de montagne, dans un cadre paradisiaque ou bien une chambre en ville dans un quartier typique offrant tout le confort "nécessaire". Cela devient encore plus "simple" avec le développement des réservations sur internet et des "promotions" en ligne. Bien que pratique, ces géants du web commencent à détruire le marché du tourisme en offrant des salaires et des conditions de travail médiocres. Rendement, plus value, optimisation, ils souhaitent développer l'activité au maximum, en oubliant parfois l'histoire même du lieu où ils sont implantés. Le Machu Pichu au Pérou, les temples d'Angkor au Cambodge, Venise en Italie ou encore Barcelone en Espagne représentent assez bien les maux du tourisme actuel. Surpopulation en saison estivale, désertification en basse saison et dégradation de ces lieux non prévus pour accueillir des millions de touristes.
L'Eco-Trotteur pense avant d'agir et diminue son impact sur la société. Voici quelques conseils pour se fondre dans la culture.
Voyagez autrement, voyagez chez l'habitant. Et même si vous n'osez pas toquer chez les gens, alors utilisez CouchSurfing par exemple. Si vous êtes ouvert à rencontrer la population de la région, c'est pour vous. Ils peuvent vous guider, vous accueillir, vous aider, faire la fête, voyager avec vous ou simplement parler de leur culture, de leur pays et de manière toujours très enrichissante.
Peur de l'inconnu, alors vous pouvez toujours voyager en dehors de la haute saison, pour éviter la surpopulation. Cela vous offre en plus la possibilité de ne pas réserver des mois à l'avance, mais directement sur place. Imprégnez-vous de la façon de vivre locale pour ne pas irriter la population, restez respectueux des villes, ne polluez pas et surtout ne vous faites pas (sur)remarquer, les locaux aiment rarement ça.

Date: 13-07-2019
Visiter un lieu Infogrpahie

Vous voulez voir comment nous changerons tout ça ?

Notre projet détaillé vous donnera des idées pour organiser votre prochain voyage éco-responsable.


Pour un passager durant un vol rempli c'est environ: 100g.
De nos jours, avec les taux de remplissage des avions (85%) c'est aux alentours de : 120g.
Pour un passager durant un voyage classique (voiture pleine et d'occasion) c'est environ : 35g.
Avec une nouvelle voiture c'est 28g (+0.9% par rapport à l'année dernière)
De nos jours, avec les taux d'occupation des voitures (1.7 passagers) c'est environ : 213g.
Pour un passager, durant une traversée en paquebot de croisière, c'est environ : 100g.
De nos jours, avec les taux de remplissage des bateaux, c'est environ : 163g.
Pour un passager, durant un voyage par voie ferrée, c'est environ : 10g.
Et avec un TGV français c'est 2.4g.
De nos jours, avec les taux de remplissage des trains : 11g.
Pour un passager durant un voyage, dans un bus rempli, c'est aux alentours de : 20g.
De nos jours, avec les taux de remplissage des Bus : 90g (avec des bus urbains).
Pour un passager, durant une sortie, c'est plus ou moins : 0g. (à une vache prêt.. c'est pas une science exacte hein)
De nos jours, c'est bien le meilleur moyen de transport pour se déplacer !
Pour un e-mail c'est entre : 4 et 50g.
Et une entrprise de 100 personnes, c'est l'équivalent de 18 allers-retours Paris-New York sur un an !
50 millions de Tweet sont rédigés chaque jour.
Twitter génère donc quotidiennement 1 tonne de CO2, soit 14.000 km de Twingo !
Pour une recherche Google cela correspond à : 7 g.
En France, c'est pret de 450.000 tonnes équivalent CO2, soit de quoi alimenter 30 maisons de 100 m² jusqu'en l'an 3019.
Pour une heure d'utilisation par jour d'un ordinateur fixe c'est : 60 g.
Cela représente une émission équivalent CO2 d'environ 22 kg par an (sans prendre en compte la consommation liée à Internet).
Les données qui font reflechir.
On estime que la consommation énergétique du web atteindra, en 2030, la consommation énergétique mondiale de 2008, tous secteurs confondus ! Alors ne serait-ce pas le moment de changer nos habitudes et avoir enfin un impact positif sur notre planète ?